Dans un premier temps, nous avons besoin d’une structure technique, nécessitant la mise en place et le contrôle d’un serveur puissant en termes de vitesse/synchronie, de traitement et de stockage. Gardez à l’esprit que le monde virtuel a besoin de rapidité et de facilité pour ses utilisateurs.
C’est la technologie qui reliera les deux mondes : le réel avec le virtuel.
Cette couche dépendra donc beaucoup de l’évolution des équipements capables d’unir ces deux réalités, comme les lunettes de réalité augmentée, les smartphones et autres technologies qui se connectent à notre expérience sensorielle.
C’est la liberté pour tous, faisant en sorte que le métavers ne sera contrôlé par aucune institution ou entreprise.
La blockchain, les NFT et l’intelligence artificielle devraient être inclus dans ce troisième niveau.
C’est l’outil qui fera tout le travail 3D. Par exemple, à MontrealVR, notre ville virtuelle, nous utilisons une plateforme de modification du jeu GTA. Il existe aussi sur le marché de grandes entreprises comme Unity, Google AI et plusieurs autres comme OVA, une entreprise de premier plan sur le marché canadien.
Le métavers fait circuler beaucoup d’argent, qu’il soit réel ou non.
Il faut définir le bon flux et surtout une dimension open source dans ce concept.
Cette section traite des expériences qui changent la vie et qui résultent de la mobilité et de l’extraction constantes d’informations. Les connaissances push et pull offrent aux utilisateurs de nouvelles expériences.
Cet ensemble affecte directement la vie des utilisateurs à la fois socialement et de loisir et, bien sûr, dans leur vie professionnelle.
Quoi qu’il en soit, nous avons atteint la dernière des 7 couches du métavers. Cette couche définit également la transformation des expériences actuelles, y compris les plus courantes de notre vie quotidienne, qui tendent à devenir encore plus accessibles et pratiques.
C’est une représentation réelle des distances et des dimensions spatiales et implique la dématérialisation des objets physiques qui est possible grâce à des graphismes photoréalistes.